Vendredi 18 mars: générale de SCRIBE-Paris pour vous préparer un spectacle de folie. Le temps de jouer la pièce, d’écouter les commentaires des metteurs en scène, de ranger les décors et de trinquer tous ensemble à la nouvelle pièce qui s’annonce des plus prometteuses, il était passé 1 heure du matin quand nous avons enfin fermé les portes de la Maison Fraternelle, où avait eu lieu la générale. (c’est là également que se tiennent 95% de nos répétitions, et 6 de nos représentations de cette année!)
Ainsi, samedi 19 mars, tous les Scribouillards s’accordaient un repos bien mérité par les efforts de la veille.
Tous? Non! Un groupe de quatre irréductibles Scribouillards, Julie, Matthieu, Quentin et Tatiana, se sont rendus à Alfortville pour une interview pour l’émission « La parenthèse de Copéa » de la station de radio AYP FM.
Quelques citations mémorables, sorties de cette interview habilement menée par Sassoun, pour vous mettre l’eau à la bouche:
« On accueille toujours avec bienvenue tous les sympathisants de SCRIBE. Même si vous ne voulez pas jouer en tant que comédiens, il y aura toujours de la place pour les gens qui veulent soulever des échafaudages. »
« Chacun a sa richesse à apporter à l’association. »
« Quand on joue sur scène, on est un peu décalé, on se dit voilà, je suis en train de faire mumuse sur scène, et puis c’est tout. Et quand on arrive sur place, on se dit, ce que j’ai fait, c’était pas juste pour mon plaisir, il y a des gens très très loin de là où moi j’habite qui comptaient là-dessus, et pour eux, le fait que j’ai fait mumuse sur scène, c’est ce qui leur a permis de faire des études. »
« On a une vraie responsabilité à partir du moment où on commence à les financer, à leur donner de l’espoir, de continuer à les suivre, et à faire perdurer cette action parce qu’elle a vraiment une importance et un impact. »
« On fait du bien à nos oreilles pour faire du bien en Arménie. »
Vous voulez avoir l’interview en entier? C’est par là, sur le site d’AYP FM!